Je poursuis mon chemin sur le plateau aux villages épars. Si habituellement je suis perçu comme un étranger, je suis plus que cela ici, car les habitants sont aussi d’origine étrangère : turkmènes, voire kurdes. Le soir tombe et je suis surpris de la musique traditionnelle qui semble venir d’un village : une fête a lieu.
The beautiful walk : 3 675,90 km
J'observe la fête. Les gens dansent le horon, une danse qui remonte à la Grèce antique, au son du tulum, une sorte de cornemuse locale. Je suis transporté dans un autre siècle.